William Bolze-Evain

ordo

Au milieu d’une nature sauvage, je découvre une cité sans âge.
Érigée sur plan, construite à perte, elle prétend lier le vivant à l’inerte.
Mais voici ses murs qu’il faudrait plaindre,
promesses de marches que je n’arrive à atteindre.
Leur géométrie sans mesure ne me renvoie que des silences.
Je m’obstine, cherche l’équilibre entre ciel et terre,
espérant qu'un jour l’horizon se dessine.